La communication mutuelle, la compréhension et l’accord, ainsi que les sacrifices, sont des éléments essentiels d’un partenariat sain.

Ceci étant dit, vous avez deux possibilités :

Premièrement, dites-lui ce que vous ressentez et ayez une conversation avec lui sur ce que vous avez écrit. Demandez-lui poliment s’il est prêt à faire un effort pour s’améliorer sur ce sujet. Mais vous devez aussi essayer d’évaluer sa réaction à votre demande et à vos attentes, ainsi que ses réflexions sur le sujet que vous avez abordé. Vous devez essayer de gagner sa confiance en faisant preuve d’empathie pour sa situation et en l’assurant que vous ne cherchez pas à le changer dans votre propre intérêt. Il doit le comprendre pour ne pas se mettre sur la défensive.

Mettons ce problème sur l’autel de l’intérêt général. S’il n’a pas pu s’adapter ou si le défi s’est avéré trop difficile à relever, vous pouvez envisager de faire vous-même les sacrifices nécessaires pour maintenir la relation en vie. L’un ou l’autre doit renoncer à quelque chose pour changer. Soit il modifie son comportement, soit vous modifiez votre point de vue. C’est à vous et à votre partenaire de faire le choix.

Si vous voulez vraiment mon avis, je vous dirais que vous dramatisez un peu trop la situation. Je ne comprends pas un mot de ce que vous dites. Oubliez l’orthographe. Laissez-le s’exprimer librement. Et s’il ne sait pas ce que signifie un terme donné, comme vous le soulignez avec tant d’insistance ? Le vocabulaire d’une personne moyenne est limité, il n’est donc pas réaliste de supposer qu’elle comprendra tous les termes que vous utilisez. Votre idée et vos exigences me semblent totalement déraisonnables et hypersensibles. Ignorez-les et laissez les choses se dérouler comme elles le sont. Il me semble que votre point de vue sur cette question est beaucoup plus étroit qu’il ne devrait l’être.

J’espère toutefois que vous parviendrez à négocier une solution pacifique à ce problème.

Au départ, je détestais la course à pied. La première chose qui m’a aidé, c’est que mes amis m’ont encouragé à me débarrasser de mes idées préconçues sur la façon dont un coureur doit courir et à profiter simplement de l’expérience. Je me fiche de ce que pensent les autres pendant que je cours à la vitesse qui me convient. Fatigué ? Je me détends en restant immobile ou en faisant une petite promenade. Le fait de ne pas réaliser mon record personnel n’était pas très grave, mais au moins j’ai essayé au lieu d’abandonner.

J’ai été agréablement surpris de constater à quel point mon jogging se déroulait mieux avec une bonne musique. Elle m’apportait un rythme solide et me permettait de ne pas penser à l’effort que je fournissais en masquant ma respiration et la fatigue.

J’ai découvert le trail running, et cela a complètement changé ma vision de la vie. La course sur route est encore un peu ennuyeuse pour moi, mais la course sur sentier est pleine de défis passionnants. Pour une raison que j’ignore, j’ai beaucoup plus de plaisir à monter et à descendre des pentes et à rebondir sur des rochers.

De plus, j’en suis venu à aimer faire du jogging le soir. Pour une raison ou une autre, j’apprécie davantage le petit coup de pouce à la santé mentale qui accompagne le jogging lorsque je suis dehors au crépuscule ou après la tombée de la nuit.